
En établissement de santé ou en libéral, les infirmier.ère.s. sont la base opérationnelle de tout système de soins. Connaissances théoriques et pratiques, résistance physique et nerveuse, conscience professionnelle ou sens de la psychologie sont des qualités intrinsèquement liées aux études d’infirmier. Présentons et revenons sur ce processus de formation.
1 – L’intégration aux études d’infirmier
Pour exercer le métier infirmier, seul un diplôme d’État spécifique à BAC+3 vous le permet. Il est accessible sur dossier via Parcoursup, E-Candidat ou sur épreuves pour les candidats relevant de la formation professionnelle continue.

2- La formation
Ce type d’étude se déroule dans les I.F.S.I (instituts de formation en soins infirmiers), en partenariat avec l’université. Globalement, plus de 30 000 places sont pourvues chaque année au sein des universités.
En somme, ce cursus est exclusivement accessible après l’obtention du baccalauréat. Il mêle cours théoriques et pratiques, en y intégrant 50 % de stages. Enfin, au terme de trois années d’études, l’étudiant obtient le diplôme d’État d’infirmier et le grade de licence (BAC +3). L’individu ainsi diplômé est dit Infirmier.ère Diplômé.e d’Etat (IDE). Selon l’Onisep, un débutant commence avec 1600€ brut.Néanmoins, un.e IDE fraîchement diplômée peut diversifier son champ de compétences en choisissant l’une des 3 formations ci-dessous. Il est également possible d’accroître ses responsabilités en cherchant à devenir cadre de santé

3 – La pratique des soins infirmiers
Pour avoir une idée plus concrète du métier d’infirmier, nous vous invitons à consulter notre article.
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